L'Amérique est un continent ou la réunion de deux continents, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud, selon le point de vue. Elle est séparée de l'Asie par le détroit de Béring.
Avec une superficie de 42 189 120 km², l'Amérique est le plus grand continent après l'Asie. Elle compte plus de 750 000 000 d'habitants.
En géopolitique, on distingue dans le continent américain deux parties, l'Amérique du Nord à majorité anglophone mais également francophone et l'Amérique du Sud à majorité hispanophone (et lusophone). Les deux parties ne sont reliées que par une étroite bande de terre. On peut également parler d'Amérique centrale pour désigner les pays situés entre ces deux blocs.
L'Amérique du Nord (superficie : 24 343 681 km²) se compose :
du Groenland
du Canada
des États-Unis
du Mexique
de l'Amérique centrale
des Antilles
L'Amérique du Sud (superficie : 17 845 439 km²) se compose :
de l'Argentine
de la Bolivie
du Brésil
du Chili
de la Colombie
du Guyana
de la Guyane française
de l'Équateur
du Paraguay
du Pérou
du Suriname
de l'Uruguay
du Venezuela
On utilise parfois le mot « Amérindien» pour désigner les Indiens d'Amérique et les distinguer des habitants de l'Inde.
On emploie souvent, par abus de langage, le terme Amérique pour désigner les États-Unis, et Américain, pour désigner les États-uniens, ou Étasuniens.
En géopolitique, on distingue dans le continent américain deux parties, l'Amérique du Nord à majorité anglophone mais également francophone et l'Amérique du Sud à majorité hispanophone (et lusophone). Les deux parties ne sont reliées que par une étroite bande de terre. On peut également parler d'Amérique centrale pour désigner les pays situés entre ces deux blocs.
L'Amérique du Nord (superficie : 24 343 681 km²) se compose :
du Groenland
du Canada
des États-Unis
du Mexique
de l'Amérique centrale
des Antilles
L'Amérique du Sud (superficie : 17 845 439 km²) se compose :
de l'Argentine
de la Bolivie
du Brésil
du Chili
de la Colombie
du Guyana
de la Guyane française
de l'Équateur
du Paraguay
du Pérou
du Suriname
de l'Uruguay
du Venezuela
On utilise parfois le mot « Amérindien» pour désigner les Indiens d'Amérique et les distinguer des habitants de l'Inde.
On emploie souvent, par abus de langage, le terme Amérique pour désigner les États-Unis, et Américain, pour désigner les États-uniens, ou Étasuniens.
La pollution industrielle en Amérique du Nord : la tendance à la baisse se poursuit
Montréal, 10/08/1999 – Une étude des données les plus récentes montre que la pollution industrielle aux États-Unis et au Canada a continué de diminuer en 1996 avec une baisse de 2,3 % par rapport à 1995.
Le rapport annuel intitulé À l'heure des comptes 1996, qui constitue une étude sur les rejets et transferts de polluants en Amérique du Nord menée par la Commission de coopération environnementale (CCE), révèle que les grands établissements de fabrication des États-Unis et du Canada ont rejeté 1,225 milliard de kilogrammes de polluants en 1996, comparativement à 1,254 milliard de kilogrammes en 1995, poursuivant ainsi la baisse que montraient les données de 1994 et 1995. Le secteur privé et les gouvernements nationaux affirment que cette baisse persiste depuis 1996 et que les statistiques tirées des prochains inventaires de rejets et de transferts de polluants en feront foi.
Le troisième rapport annuel de la CCE [une organisation dont le siège est situé à Montréal et que le Canada, le Mexique et les États-Unis ont créée afin qu'elle se penche sur les sujets de préoccupation que soulève l'Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA)] donne un aperçu des rejets et des transferts de polluants par État et par province. Il rend compte, à l'échelle du continent nord-américain, des quantités de polluants industriels rejetés directement dans l'air, dans l'eau et sur le sol ou transférés hors site en vue d'être traités ou éliminés (la plupart du temps dans des décharges).
Ce rapport de 421 pages se fonde sur les renseignements que fournissent le Toxics Release Inventory (TRI, Inventaire des rejets toxiques) des États-Unis et l'Inventaire national des rejets de polluants (INRP) du Canada. Ces systèmes de déclaration visent des polluants déterminés rejetés et transférés par des secteurs industriels déterminés par les gouvernements et non pas l'ensemble des polluants rejetés dans l'environnement.
Les secteurs des produits chimiques, des métaux de première fusion et des produits de papier sont les principaux secteurs visés. Cette année, le rapport analyse également les rejets et les transferts de métaux (et de leurs composés) ainsi que les rejets et transferts par personne.
L'étude a été menée à l'aide d'une méthode particulière qui permet d'avoir un aperçu de la situation à l'échelle nord-américaine sur la base de données comparables en provenance des États-Unis et du Canada. Les données du Mexique y seront intégrées lorsque le système de déclaration de rejets et de transferts de ce pays sera en place.
En 1996, l'inventaire des États-Unis visait 608 substances chimiques, alors que celui du Canada en visait 176. À l'heure des comptes se fonde sur les données de 1996 relatives à 165 substances chimiques qui sont l'objet des mêmes prescriptions de déclaration aux fins des deux systèmes d'inventaire. Les inventaires actuels ne comprennent pas les exploitations agricoles (pesticides et engrais chimiques), les petites entreprises (p. ex., les stations-service et les établissement de nettoyage à sec) et les sources mobiles de polluants (dont les automobiles et les camions).
Le rapport mentionne cependant que les données ainsi que le classement des établissements ne visent aucunement à indiquer que ceux-ci ne s'acquittent pas de leurs obligations réglementaires en matière d'environnement ou qu'un programme environnemental fédéral, provincial ou étatique est inadéquat.
Selon le rapport, en 1996, quelque 20 534 établissements de fabrication comparables (19 190 aux États-Unis et 1 344 au Canada) ont rejeté ou transféré 1,225 milliard de kilogrammes (2,7 milliards de livres) de polluants, soit une baisse de 2,3 % par rapport à 1995. Plus précisément, ces rejets et transferts ont diminué de 2 % aux États-Unis et de 5 % au Canada comparativement à 1995. Au Canada, cette baisse s'est produite malgré un plus grand nombre d'établissements déclarants. Ce nombre a diminué de 2 % aux États-Unis par rapport à 1995.
Dans les deux pays, les entreprises prévoient continuer de réduire leurs rejets et transferts de polluants entre 1996 et 1998, la baisse prévue étant de l'ordre de 6 % aux États-Unis et de 8 % au Canada.
« La CCE est déterminée à élargir l'accès à l'information publique sur les rejets et les transferts de polluants et à promouvoir son utilisation comme un incitatif à réduire la pollution, a déclaré la directrice exécutive de la CCE, Janine Ferretti.
« Les Nord-Américains ont la chance de voir leur pays recueillir des données sur les rejets et les transferts de polluants, et ce, de façon à ce qu'il soit possible de comparer ces données. En comparant les données sur les polluants dans le cadre de ce rapport, la CCE leur permet de surveiller les progrès accomplis en matière de réduction de la pollution. »
Le rapport du groupement intergouvernemental d’expert sur l’évolution du climat (GIEC) établissait clairement que les conséquences du réchauffement de la planète seraient plus graves que ce que l’on pensait jusqu’alors. Mais nous pouvons encore éviter les conséquences les plus désastreuses. Entre autre, en évitant aux poumons de la Terre de disparaître. La forêt amazonienne, par exemple, jour un rôle très important dans la régulation de notre climat. Tout comme les autres forêts tropicales, elle absorbe chaque jour des quantités gigantesques de dioxyde de carbone. Sans ces forêts, l’effet de serre serait encore plus important et le réchauffement climatique encore plus rapide.
Actuellement, le Nord et l’Ouest de la forêt sont rongés par l’élevage, la culture du soja et la construction d’infrastructures routières. En 2004, une étendue de la taille de la Belgique a été rasée.
Pour conserver ce qui reste encore de forêt originelle, soit environ 80%, le WWF veut établir un couloir de zones protégées. Le WWF s’est fixé comme objectif de diminuer de 25% la déforestation de la forêt amazonienne au Brésil d’ici 2020. Pour mener cette mission à bien, beaucoup de moyens sont nécessaires. C’est pourquoi, le WWF-Belgique, ensemble avec les bureaux d’autres pays, lance une campagne de récolte de fond à l’échelle internationale pour protéger l’Amazonie. L’objectif de la campagne est de récolter un maximum d’argent pour sauver l’Amazonie et ses habitants comme le jaguar ou le dauphin de rivière.
Le WWF-Belgique a décidé de centrer son aide sur une région précise de la forêt amazonienne. L’argent qui sera récolté par la campagne du WWF-Belgique sera investi dans la région de Juruena-Apui. Il s’agit d’un des six domaines identifiés par le WWF comme “zone prioritaire de protection ” en raison de leur biodiversité. La région de Juruena-Apui s’étend sur 9 millions d’hectares et abrité déjà un certain nombre de zones protégées. Dans le Juruena-Apui, le WWF a pour objectif de :
élargir les zones protégées à 5 millions d’hectares d’ici 2009
faire disparaître la déforestation illégale à l’horizon 2011
encourager la gestion durable des ressources naturelles
Ce projet est coordonné conjointement par le WWF-Brésil et le WWF-Allemagne.
Le jaguar est l’animal symbole de la campagne. Il est le plus grand félin du continent américain.
Jadis, les Mayas et les Incas le vénéraient en temps que créature divine. Depuis, les choses ont bien changé. Des parties grandissantes de la forêt amazonienne sont détruites au profit de l’agriculture. Le jaguar a de plus en plus de mal à trouver ses proies et ses conditions de survie sont rendues très difficiles.
Actuellement, le Nord et l’Ouest de la forêt sont rongés par l’élevage, la culture du soja et la construction d’infrastructures routières. En 2004, une étendue de la taille de la Belgique a été rasée.
Pour conserver ce qui reste encore de forêt originelle, soit environ 80%, le WWF veut établir un couloir de zones protégées. Le WWF s’est fixé comme objectif de diminuer de 25% la déforestation de la forêt amazonienne au Brésil d’ici 2020. Pour mener cette mission à bien, beaucoup de moyens sont nécessaires. C’est pourquoi, le WWF-Belgique, ensemble avec les bureaux d’autres pays, lance une campagne de récolte de fond à l’échelle internationale pour protéger l’Amazonie. L’objectif de la campagne est de récolter un maximum d’argent pour sauver l’Amazonie et ses habitants comme le jaguar ou le dauphin de rivière.
Le WWF-Belgique a décidé de centrer son aide sur une région précise de la forêt amazonienne. L’argent qui sera récolté par la campagne du WWF-Belgique sera investi dans la région de Juruena-Apui. Il s’agit d’un des six domaines identifiés par le WWF comme “zone prioritaire de protection ” en raison de leur biodiversité. La région de Juruena-Apui s’étend sur 9 millions d’hectares et abrité déjà un certain nombre de zones protégées. Dans le Juruena-Apui, le WWF a pour objectif de :
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faire disparaître la déforestation illégale à l’horizon 2011
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Ce projet est coordonné conjointement par le WWF-Brésil et le WWF-Allemagne.
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Jadis, les Mayas et les Incas le vénéraient en temps que créature divine. Depuis, les choses ont bien changé. Des parties grandissantes de la forêt amazonienne sont détruites au profit de l’agriculture. Le jaguar a de plus en plus de mal à trouver ses proies et ses conditions de survie sont rendues très difficiles.
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